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25 hectares de nature en plus à Paris en 2013
Par Caroline Sallé
Mis à jour
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D'ici à la fin de l'année, quelque 3 hectares de la Petite Ceinture seront réaménagés en promenade dans le XVe. |
En 2013, --1-- de voir la vie en rose, les Parisiens pourront au moins
se mettre --2-- . Cette année, la Mairie doit en effet livrer 25 ha d'espaces verts --3-- les 33
prévus lors de cette mandature. --4-- les projets phares, la réalisation d'un jardin
dans le cadre de l'opération de couverture du périphérique vers la porte de
Vanves (XIVe) --5-- à février. Mais
aussi l'aménagement de 8 ha
de pelouses accessibles en mars-avril --6-- de l'hippodrome d'Auteuil, dans le bois de
Boulogne. Ou encore la transformation, prévue à la fin de l'année, de 3 ha de la Petite Ceinture en
promenade bucolique permettant de --7-- les parcs Georges-Brassens et André-Citroën sur
un kilomètre, dans le XVe. Citons aussi l'ouverture au public du Tir aux
pigeons, dans le bois de Boulogne, et de l'école du Breuil dans --8-- de
Vincennes. Enfin, une forêt urbaine, pas --9-- des plus champêtres, doit également sortir de
terre sur plus d'un hectare --10-- de la porte d'Aubervilliers, --11-- le
périphérique et les boulevards des Maréchaux. «Au total, se félicite en tout
cas la municipalité, la Ville
aura ouvert 65 ha
d'espaces verts sur deux mandatures.» Soit. Mais Paris reste l'une des
agglomérations --12-- la densité d'espaces verts, 2,50 m2 --13-- habitant (11 m2 si l'on compte les
bois), est la plus faible d'Europe.
Investir les toits
Pas --14-- nature, la capitale? «C'est le moins que l'on --15-- dire!»
s'emporte Yves Contassot, conseiller de Paris EELVA. Et de dénoncer l'ambiguïté
entretenue par Bertrand Delanoë. «Lorsque la Mairie annonce des ouvertures de jardins, en
réalité, elle --16-- accessible des lieux, mais elle ne crée rien», persifle
l'élu. --17-- lui, le maire
préférerait densifier la capitale avec des bureaux. «En dix ans, il --18-- a construit
1,2 million de mètres carrés, car --19-- rapporte davantage. Il faudrait arrêter de --20-- Paris!» Si
Fabienne Giboudeaux, l'adjointe au maire de Paris --21-- des espaces verts,
reconnaît que la raréfaction du foncier et, donc, l'--22-- des prix réduisent --9-- les marges
de manœuvre, elle estime cependant qu'il «ne faut pas avoir une --23-- uniquement
quantitative. Créer un --24-- de petits jardins de proximité est également une
manière de faire respirer la
Ville».
Son idée? --25-- qu'un grand parc comme à New York ou à Londres
est irréalisable chez nous, --26-- d'espace --27-- , elle ambitionne d'investir… les toits. Selon
un –28-- de l'Atelier
parisien d'urbanisme (Apur), 80
ha seraient exploitables. «Si 5 ou 10 % pouvaient être
transformés en jardins accessibles, ce serait --29-- bien. Même si cela ne
remplace pas un jardin en pleine terre, ça coûterait moins cher que de
dépolluer des terrains», lance-t-elle. L'--30-- du Tir aux pigeons a nécessité 1,2 million
d'euros. Et il --18-- a fallu 7 pour l'hectare des parcs Curial et Cambrai --31-- de la
résidence Michelet, dans le XIXe.
À dÉfaut
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dÉjÀ
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Parmi
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approche
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du cÔtÉ
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puisse
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assainissement
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recensement
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